Qu'allons nous rechercher là bas ?

Ouaih, il nous manquera le couple Foued, Guy, irrésistible, surtout quand ils s'enguelent qu'ils sont bien ces mecs, sincèrement, MERCI A VOUS 2

sache que j aurais aimé que tu sois la foued, vraiment.

Pareil que Fred....
Soyez rustiques
Vous partez pour 7 jours de course
Vous avez la chance de partir avec des anciens et sages à la fois.
Vous serez tous finishers même si en ce moment la pression monte à El Paso.
Pensez à nous qui seront derrière nos claviers...nous serons épuisés à vous suivre sur le site sans pouvoir être à côé de vous (snif, snif...)
Foued

en plus c est des piles rechargeables

J'aimerais bien rencontrer Fred un jour, ailleurs qu'au travers d'un mirage ou de volutes de chaleur. Phil'.

PhJacques a écrit:Le risque que nous encourons à participer au MdS est pour moi de ne plus me contenter non seulement d'y retourner l'année suivante, mais de vouloir maintenant en préparer d'autres toutes aussi merveilleuses, et de courir avec l'idée en tête d'avoir une course d'avance en perspective. C'est une course sans fin. . . jalonnée de projets Phil'

Merci camarade. J'espère vous voir bientôt. C'est vrai que le MDS ouvre les portes à d'autres courses sacrées. J'ai commencé par celle là, j'y suis retourné et j'y retournerais encore avec vous je l'espère (et avec des sponsors) mais depuis j'en ai fait bien d'autre encore plus difficiles et plus belles et il en reste.....

sauf que quand meme il faut rester humble par rapport à tous ceux qui ont eu le merite de finir cette course, donc moi tant que je n ai pas vu la ligne d arrivée je me fais tout petit

bien parlé fabien!
ce n est pas va t on finir mais serons nous dans les 100 premiers?
sans deconner je n y retourne pas pour une frontale mais aussi pour les piles qu il y a dedans

Je partage à 100% les propos de Fred. Partir avec des gars comme Guy et Steph est une véritable chance. Perso, avant mon premier MDS je n'avais jamais couru plus long qu'un semi et leurs conseils m'ont été d'un précieux secours. Vous allez tous être à l'arrivée, même si pour cela il faut que l'on vous aide. Vous avez déjà consenti beaucoup d'efforts dans votre préparation et ne paniquez sur des questions du type "vais-je y arriver" car la question ne se pose pas.
Fabien

Le risque que nous encourons à participer au MdS est pour moi de ne plus me contenter non seulement d'y retourner l'année suivante, mais de vouloir maintenant en préparer d'autres toutes aussi merveilleuses, et de courir avec l'idée en tête d'avoir une course d'avance en perspective. C'est une course sans fin. . . jalonnée de projets Phil'

Fred' quand aurons nous la chance de le voir ? Pour le moment il n'est pour moi qu'un mirage qui apparait dans une volute de chaleur sur cette photo prise dans le désert sur la 333 Km. Phil'.

merci tonton fred!!!

PhJacques a écrit: C'est vrai que Fred a sans doute raison, sur le fait qu'on ne sera pas seul, c'est sûr mais Fred, nous devons bien commencer par quelque chose. . . Et puis il nous faudra bien nous régler, nous obliger à nous nourir coute que coute sous peine de ne pas avoir eu notre ration de calories, et d'eau; on sait qu'on emporte le minimum sur nous (Steph' a corrigé ma liste et j'ai peur) c'est déja une prouesse ça de savoir qu'il nous faudra absolument tenir avec uniquement ce que nous avons dans le sac. Et puis aux sables rien ne nous interdit de rentrer dedans, . . .J'aimerai bien m'éclater là bas, mais je sais que le juge de paix sera la longue et que je devrai freiner mes prétentions jusqu'à celle ci. Tiens Fred, par exemple, je n'ai jamais couru une épreuve de 80,00Km pour moi ce sera un rêve, qui plus est dans le sahara, et donc de nuit pour une bonne partie (Steph' m'a assé sermoné là dessus). Par contre faudra pas m'en promettre sur la dernière de 25,00Km même Elzbieta je la doublerai elle qui finit tjs ses trails 15' devant moi. Merci de ton intervention Fred'. Phil'.

Pas de soucis pour se "reconditionner" le soir, Doc Guy ne vous lachera pas jusqu'à ce que vous ayez tout manger et SURTOUT bu. Il ne vous laissera dormir qu'après avoir uriner au moins deux fois, signe de réhydratation.
Pour mon premier MDS je n'avais jamais couru plus d'un marathon et il n'y a pas eu de soucis. Donc : pas de pb, tout va bien se passer et tout le monde sera finisher j'en suis certain.
Un seul et unique conseil : non 2 conseils : 1/ prenez soin de vos pieds.
2/ écoutez les anciens. Vous avez la chance de partir avec des REFERENCES. Profitez.

15' tu rêve mon petit phil au mois 30' bon journée a tous ela

Merci didier, ce que tu as ecrit est beau et plein de significations pour moi.
courir c est s'abandonner, à quoi? on ne le sait pas toujours.
courir pour souffrir, souffrir pour courir, soufrir pour souffrir lou courir pour courir!!!
oh la faut arreter!!!

On est des Traileur's Elzbieta, un peu bucolique dans l'âme, qui admiront le payasage tout en le respectant, c'est ainsi que je fais la différence entre les trail's et les Marathon sur route. C'est vrai que Fred a sans doute raison, sur le fait qu'on ne sera pas seul, c'est sûr mais Fred, nous devons bien commencer par quelque chose. . . Et puis il nous faudra bien nous régler, nous obliger à nous nourir coute que coute sous peine de ne pas avoir eu notre ration de calories, et d'eau; on sait qu'on emporte le minimum sur nous (Steph' a corrigé ma liste et j'ai peur) c'est déja une prouesse ça de savoir qu'il nous faudra absolument tenir avec uniquement ce que nous avons dans le sac. Et puis aux sables rien ne nous interdit de rentrer dedans, . . .J'aimerai bien m'éclater là bas, mais je sais que le juge de paix sera la longue et que je devrai freiner mes prétentions jusqu'à celle ci. Tiens Fred, par exemple, je n'ai jamais couru une épreuve de 80,00Km pour moi ce sera un rêve, qui plus est dans le sahara, et donc de nuit pour une bonne partie (Steph' m'a assé sermoné là dessus). Par contre faudra pas m'en promettre sur la dernière de 25,00Km même Elzbieta je la doublerai elle qui finit tjs ses trails 15' devant moi. Merci de ton intervention Fred'. Phil'.

Tu es tout excusé pour les fautes (que je n'ai pas remarquées) vu la "pureté" la spontanéité, et la lucidité qui ressort de ton texte, moi qui pensait que comme Guy, ce Post allait partir en vrille j'ai eu la chance de lire un très beau Post ce soir, Merci Ddier. Et à l'occasion si quelqu'un a 1 frontale a filer à Guy, sinon, il prendra une lampe de mineur avec une bougie. PhiL

Au moins avec Didier on a de la lecture, je m'assoie, prends un tilleul, et vas y que je prends mon élan. Phi'l

hello, y a -t- il des coureurs parmi vous ou que des philosophes?

Attention de ne pas surestimer l'événement non plus car vous "pourriez" être déçus. C'est une très belle histoire ENTRE AMIS mais ce n'ai pas surhumain. La beauté n'est pas dans l'effort mais dans le décors. Vous n'aurez pas le temps de faire le bilan sur votre vie. Vous serez rarement seuls (dommage) mais c'est le pieds d'être avec un pote....
Je ne veux surtout pas briser vos rêves mais restez objectifs.

le marathon des sables et toutes les autres courses de ce type sont des épopées jugé surhumaine pour le commun des mortels .C'est certain que cumuler une moyenne d'un marathon par jour pendant une semaine,du sable,de la chaleur,dormir par terre et etre en autonomie alimentaire... C'est pour le moin un peu fou.Pourtant,la quasi-totalité des coureurs sont des amateurs ; mème les premiers travaillents et considèrent la couurse à pied comme une passion.Peu de participants sont"physiquement" des athlétes de haut niveau.Mais pour arriver au bout,tous font preuve de qualités mentales exceptionnelles,par leur engagement,leurs motivations,et leur volonté si le mentale et l'envie ont une grande place dans ce challenge.la réussite passe d'abord par une préparation minutieuse du corps, du matériel, de l'entrainement, et de la connaissance de " ce à quoi on doit s'attendre"...il faudra un minimun d'imprévu, le soucis du détail sera primordial dans ce genre d'aventure. pour l'avoir négligé, certains coureurs ont abandonné , sérieusement malades ou bléssés gravement et même perdu la vie lors de l'edition 2007 .
billet d'humeur édition 2008 : Non ce n'est pas un rêve, non ce n'est plus un rêve. j'ai bien le yeux grands ouverts. après plus de 4 mois de préparations, la banderole de départ est sur nos t^tes, nous y sommes !!!!deux mots me viennent à l'eprit : bonheur et souffrance il pourrait ^^etre en desaccord dans bon nombre de situations et pourtant il me semble liés et indissiociables dans cette "planète sable" . car nous sommes bien sur une autre planète ! celle du marthon des sables , loin de l'urbanisation, loin de la routine de tous les jours notre petite vie plustôt paisible et plaisante est mise entre parenthèse; là, commence une autre vie. une vie aux relations étroites avec nos compagnons de tente, une vie de partage et de solidarité, une vie entrecoupée de souffrance et de moments de galère . une vie accompagnée de moment de pur bonheur, d'émotions inoubliables. une vie simple faite de débrouyilles de systèmes D où les gestes sont spontanés et vont à) l'essentiel. un univers où l'entraide prend une place importante pour la bonne marche et le moral de tout le groupe . oui, vous entrez dans l'univers de la planète sable où le respect et l'humilté font partis intégrantes de l'ambiance qui s'y dégage. certains nous disent " mais pourquoi faites vous ça ?, à quoi ça sert ?vous êtes fous ! " d'apporter des explications, une partie de la réponse se trouve sans doute dans ces quelques lignes il faut avant tout le vivre pour comprendre. vous pourrez toujours dire que nous sommes fous, moi je pense avant tout que nous sommes des pationnés qui allons au bout de nos idées ou bout de soi .Ce n'est pas parce que les choses sont difficiles que nous n'osons pas, c'est parce que nous n'osons pas qu'elles sont difficiles.
pour la tente n°2 : vous allez avoir la chance de faire parti du voyage vous en reviendrez surement changé avec des souvenirs plein la tête et une vision des choses de la vie plus ouverte et moins critique . que du bonheur didier
PS : excusez les fautes !

ben moi j'y vais pô!

moi j y vais pour essayer de retrouver ma frontale que j ai oublié au dernier cp de la longue

phil mon ami crois tu qu'il faille chercher qqchose à tout prix, ce qui est sur c'est que nous allons vivre quelquechose dont on a même pas idée de la grandeur.
aujourd hui je sais que ca m'aura deja servi de rencontrer des gens sympas et simples; vous.

je vais chercher au plus profond de l'immensité du desert ce qui me donnera assez de force pour continuer...
d'avance je remercie ma petite famille qui, même si j'essaie de rester discret, bouffe du marathon des sables à longueur de journée.